Avant le concert, on pouvait admirer des oeuvres originales à l’extérieur ou dans la chapelle du Prieuré. En voici quelques-unes que j’ai particulièrement aimées : Ramassés sur les plages de Normandie, ces bois flottés de Marc Bourlier, compositions étranges, d’où se dégage un sentiment de malaise parfois, dû à l’intensité des regards, hagards, surpris ou vides. Un regard tout aussi expressif dans ce travail en carton de Bénédicte Havet.
Posté le 21 juillet 2014
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour publier un commentaire.